Depuis 8 ans, je sillonne le sud de l’Oise à la recherche de biens à vendre, et je peux vous dire que cela n’est pas de tout repos !
Mon métier de conseiller en immobilier, je l’adore, et pourtant je constate qu’il est souvent méconnu ou que des préjugés subsistent dans l’esprit d’un grand nombre de personnes…
Pour rétablir la balance et surtout, parce que j’avais envie de partager avec vous mon quotidien, j’ai donc pensé à écrire cet article en mode téléréalité 😊 : j’avais tellement hâte de vous faire découvrir ce qu’est mon activité !
Vous verrez qu’à travers cette belle aventure, ce sont surtout les valeurs qui sont essentielles : c’est de là que viennent ma force et ma ténacité…
On me demande souvent où je trouve mon énergie…
Mon état d’esprit, mais surtout la formation et la transmission sont sans aucun doute les deux pivots les plus importants de ma démarche !
Embarquez à bord de l’OVNI, pour un voyage au pays de L’immo by Hélène…🛸🛸
Pour ceux qui ne le savent pas encore, je suis conseillère en immobilier estampillée SAFTI.
Très simplement, cela signifie que je fais partie d’un réseau reconnu nationalement mais pas que : SAFTI, ce sont aussi des conseillers en Espagne et au Portugal !
Avant de rejoindre SAFTI -je vais être très honnête avec vous-, j’ai travaillé pour d’autres réseaux, mais je peux vous dire que tous ne se valent pas. La preuve, c’est que SAFTI est aujourd’hui numéro 1 en France avec 5000 conseillers…
La grosse différence, et le point fort de SAFTI – et c’est là où je voulais en venir-, c’est la formation de ses mandataires.
Chez SAFTI, les conseillers en immobilier sont formés tout au long de leur vie.
Dès leurs débuts, ils suivent un parcours de formation obligatoire afin de saisir les enjeux de la vente immobilière, de la déontologie de la marque, mais aussi les bonnes pratiques et les spécificités du réseau.
Grâce à ce premier levier, nous sommes propulsés directement au cœur du métier, nous sommes accompagnés et guidés.
Tout au long de ma carrière, j’ai ainsi suivi les formations dispensées par SAFTI, me perfectionnant sans cesse, pour toujours mieux satisfaire mes clients, et ça marche !
Quand on choisit de devenir conseiller en immobilier, c’est aussi par amour de l’indépendance.
Mais cette indépendance, il faut pouvoir l’assumer, que ce soit d’un point de vue financier, administratif, commercial ou stratégique.
C’est pourquoi je me forme continuellement dans des domaines annexes, et pourtant indispensables :
Grâce à tous ces outils, j’avance sereinement et développe l’ensemble de mes compétences, me donnant aujourd’hui la force d’envisager mon travail de manière collective.
J’y ai même pris goût, en me formant tout récemment auprès du CNE et en devenant expert en immobilier agréé !
Je pense que vous l’avez deviné, je suis une femme de cœur.
Aussi, quoi de plus beau que de transmettre mon savoir à mon équipe ?
Je recrute des personnes qui ont les mêmes valeurs d’entraide et d’écoute que moi.
On a souvent l’image du conseiller immobilier, seul à son bureau, mais je peux vous dire que cela est totalement erroné.
Avec mon équipe SAFTI, nous travaillons main dans la main pour dénicher des biens attractifs et écrire la suite de chaque histoire !
Alors bien sûr, la vie n’est pas un long fleuve tranquille, et être indépendant est un challenge de chaque heure, mais il y a ces petits moments bénis qui vous persuadent que vous avez bien fait de choisir ce métier, à travers les yeux d’une maman, ou le sourire d’un enfant (je sais, je suis poétesse à mes heures !)🖋️
Je recrute toute l’année des conseillers motivés partageant ma vision du métier et souhaitant s’installer dans l’Oise.
Mais quand mon fils a rejoint l’aventure dans le cadre de son alternance, ce fut encore une autre satisfaction !
Humaniser mon travail est essentiel pour moi : quoi de plus satisfaisant que de partager mon savoir-faire dans un cadre familial ?
Ce métier, souvent caricaturé, a du sens quand on prend le temps de s’interroger sur ses motivations profondes, sur ses valeurs, ses envies, sa signature : c’est du moins de cette manière que je le conçois.
Je le dis souvent, être conseiller en immobilier, c’est offrir à ses clients la possibilité de poursuivre leur projet de vie, en toute quiétude.
Ma plus belle récompense ?
Travailler avec mon fils, et être la femme de confiance de mes clients.
Être conseillère en immobilier SAFTI, ça l’fait !
Bonjour à tous chers lecteurs !
Je suis RA-VIE de vous retrouver sur mon blog et je tenais à vous présenter tous mes vœux pour cette nouvelle année !
Puisse 2022 être joyeuse, prometteuse, enthousiasmante ! 😊
De mon côté, l’année s’annonce riche et ponctuée de projets dont je vous parlerai au fur et à mesure ici… (je sais, je suis la reine du suspens !)
Mais pour l’heure, j’ai décidé de commencer l’année avec une thématique qui rimerait presque avec le mot tradition, tant il est devenu rituel de faire le bilan de l’année et de poser sur le papier quelques projections…
Certes, 2021 fut exceptionnelle à bien des égards, mais qu’en sera-t-il de 2022 ? Quelles tendances et évolutions faut-il prévoir dans le secteur immobilier ? À quelles problématiques seront soumis les acheteurs comme les vendeurs ?
Bilan énergétique en évolution, hausse des prix, mouvement de population, taux d’intérêt, qualité de vie : à quoi faut-il s’attendre ?
Les élections présidentielles approchant à grands pas, y aura-t-il un ralentissement des ventes, ce contexte favorisant un certain attentisme ?
Si vous avez un projet immobilier ou que vous connaissez des amis ou parents à l’aube d’un nouvel envol, je vous laisse découvrir cet article qui répondra aussi à des questions d’ordre financier ou législatif.
2021 fut l’année de tous les records comme le souligne le CSN (Conseil Supérieur du Notariat) dans son tout récent rapport 2021.
En effet, la vente de logements anciens a connu un énorme rebond en 2021, et ce notamment dans des villes de moyennes importances, grandes gagnantes de la pandémie.
Avec une hausse du prix médian au m2 entre 6 et 16%, Poitiers, Nancy, Reims, Le Havre, Brest, Tours ou encore Rouen ont vu l’arrivée de populations bien ciblées, telles que les citadins vivant dans les grands centres métropolitains, soucieux de renouer avec une vie plus paisible, tout en conservant le confort de la vie urbaine.
A contrario, les grandes villes connaissent en revanche une stabilisation de leurs ventes, avec une progression à hauteur de 1% sur 2021. Le marché est stable, avec une sensible baisse du prix médian au m2 pour Paris.
Visiblement, cette tendance devrait se poursuivre, même si les experts prévoient un sensible ralentissement des ventes sur les villes de province, qu’il faut nuancer en regard de l’attractivité de chaque région, car de fortes disparités persistent !
Dans l’Oise, je constate la même chose : les franciliens déménagement et deviennent des « frontaliers », pour les raisons évoquées ci-dessus (lisez aussi cet entretien réalisé avec deux clients ayant sauté le pas. )
Dans ce contexte, on est donc en mesure de s’interroger sur ce qui va changer !
Comme nous l’avions déjà évoqué dans cet article, les taux d’emprunt n’ont jamais été aussi bas que ces derniers mois, favorisant l’acquisition de logements pour des foyers modestes notamment grâce aux préconisations du HCSF (Haut Conseil de la Stabilité Financière).
Pour ma part, je prévois une hausse des taux d’intérêt concomitante à la baisse des prix de l’immobilier, ce qui signifie qu’en fonction de ces paramètres, il faut prévoir une modification des règles d’emprunt.
Cette tendance aurait cependant du bon. Je m’explique.
Aujourd’hui, beaucoup de foyers modestes ont accédé à la propriété, mais, en raison de la pandémie, de nombreuses familles se retrouvent aussi dans l’impossibilité de payer leurs traites.
La raison principale ? La faible marge de manœuvre offerte par leurs prêts, au taux très bas…souvent contractés sur 25 ans, soit le maximum…
Ainsi, des taux plus élevés permettraient une renégociation, et une flexibilité vis-à-vis des foyers les plus modestes…
Depuis le 1er juillet 2021 et la réforme du diagnostic énergétique, il est désormais clair que les valeurs dites « vertes » rentrent aussi dans la danse de l’immobilier (ici, document plutôt bien fait sur la question).
L’idée est belle et bien de faire disparaitre l’ancien DPE dont les anciennes méthodes d’évaluation seront remplacées par des procédures plus en phase avec les considérations du moment. Le métier de diagnostiqueur va donc aussi évoluer (je vous en parlerai dans un prochain article d’ailleurs…)
En renfort, pour les habitations classées D, E, F ou G, et à partir du 1er septembre 2022, la réalisation d’un audit de performance énergétique sera exigée afin de lutter contre les passoires énergétiques, estimées à environ 17% du parc immobilier. Même si la teneur de ce document n’a pas encore été communiquée, il faut s’attendre à de sacrés changements de ce côté-là !
Voilà, j’espère que ce premier article 2022 vous aura plu ! (Je vous invite à vous inscrire à ma lettre d’information en haut à droite pour être tenu informé de la publication des prochains articles !)
Et vous, quels sont vos projets immobiliers pour l’année à venir ?
À bientôt !
Hélène Chapelle